MERCI Flo Ris pour la dédicace simiesque,
shootée lors de la Balade graffique dans Beaux-Arts (Printemps de l'Art se Libère, rue Thérèse à Montpellier)
Nous soumettons toujours nos articles à validation des Artistes concernés, par politesse et Respect pour l'utilisation de leur image (et pour vérifier qu'on ne dise pas de bêtises, savoir s'ils ont des infos complémentaires à donner, de meilleures ou d'autres photos que celles que nous avons - de nous comme celles chopées sur le net ou la page fb dédiée)
Voici donc les retours des Artistes, par ordre de publication :
- 3LP : rencontré par hasard au Montana Shop alors qu'on le traquait depuis plus de 6 mois, il a apprécié notre travail, même s'il a surtout vu, pour l'instant, son album photo dédié
- Collectif des Cerveaux-Lents : vu lors de l'expo du Pot'z à Couleurs de Bières (qui cherche encore et toujours des Artistes à exposer durant un mois) : « C’est (Licence) H-achement bien votre article, sympa comment vous avez lié les œuvres entre elles en faisant une histoire barrée complet »
- Polar : « J'aime bien la façon dont vous amenez tout ça »
- Al Sticking : « Ahah, belle, vous avez pu presque retrouver toute la série ! Les services municipaux étant plus rapides à dégainer que les 12 singes...Sympa comme tous ces articles, bonne continuation à vous »
- Jonnystyle : « Félicitation, dans l'article on peut voir qu'il y a de la passion pour la peinture de rue, et que vous appréciez mon travail. L'article est ludique et original, ça me va. Bravo »
- Grems : précision sur le début de ses raps puis « c'est cool :) »
- Gum : « C'est parfait, tout est bien, un grand merci »
- OneVis : « Merci pour l'hommage, ça m'a bien fait rire cette petite histoire »
- Claire StreetArt : « Je suis allée voir l'article, c'est fun, c'est sympa à vous. Vous pouvez le mettre en ligne. Merci ! »
- Lady SonP : « C’est vraiment au top merci beaucoup ça fais plaisir de voir ça sous un autre œil !!! :O) Encore merci pour cet article c`est super gentil ! Super retours sur vos articles merci merci merci !!! Au top l'article sur Kora !! et merci pour le lien vers le mien ! »
- Koralie : « Je suis très flattée par le respect que vous me portez et je suis contente de revoir mes premières peintures sur mur. Votre intérêt me touche beaucoup »
- EpsylonPoint : « Merci à vous !! hihihih les textes sont bin et les foto oci !! hihihihih bien ecris tt ça !! hihihihih »
- Oré : « Salut ! Eh bien, super cet article. Bien documenté sur la mythologie précolombienne. Je valide à 100% !!! Merci en tout cas pour l'intérêt porté aux Quetzalcoatls ! »
- Rankka : « C'est très cool merci.. C'est très bien ce que vous faites ... »
- Nelio : « Merci pour l'anniv' et l'article. Bonne continuation et bon week end ! »
- C215 : « Hello. Aucun probleme pour les photos et le reste. A bientôt »
- Poch : « Salut. ok .. pas d'erreur a priori ! on dit plus pochoiriste que pocheur ... {ndlr, c'était pour la rime avec rockeur, mais Patrice s'en doutait} à plus »
Parallèlement à ça, voici les retours de grands photograffeurs consultés pour améliorer notre Guide pour différencier le "bon photograffeur" du "mauvais photograffeur" (un grand MERCI à eux, leur expérience nous a bien aidé à nous former puis à vous informer) :
- UrbanHearts/Street Art Without Borders {photograffeur depuis 30 ans, plus de 20 pays visités} : « J'ai lu avec attention et plaisir votre document et ai parcouru votre site. J'ai effectivement pas mal de commentaires à faire, avec toutefois un préalable à exprimer : je ne me sens en aucun cas le droit de juger ou de dire "ceci est bien, cela non"...donc mes observations sont aussi des opinions et non des jugements. La "chasse à l'œuvre..." est bien observée, intéressante, et bien vu pour le sol, souvent négligé, il réserve de bonnes surprises. Il y a aussi les arbres : voir http://www.flickr.com/photos/urbanhearts/sets/72157622717207095. Après, c'est plutôt dans les notes finales que j'ai des remarques : les noms de rue ne posent pas de problème sauf pour les voleurs nombreux de street art. Alors dans ce cas, plus que le nom de la rue qui permet au voleur d'aller se servir (même quand c'est collé à 3 ou 4 m de haut avec une perche, ces connards vont les chercher...quand le street-Artiste les lacère discrètement afin qu'ils n'aient pas d'œuvre intacte, ils les font reconstruire par des spécialistes en restauration), c'est par contre la date de publication qui importe : attendre quelques jours avant de publier une photo permet souvent à l'œuvre de rester en place plus longtemps.Sur le 3eme point, les passants quand tu shootes sont au contraire à rechercher ! Je trouve que l'inclusion d'un passant dans la photo de street art non seulement donne vie, permet de bien insérer l'art urbain dans son environnement des gens qui passent devant mais aussi donne parfois des petits miracles de coïncidences entre l'œuvre et le passant. J'ai de nombreux exemples : par exemple les correspondances de couleurs http://www.flickr.com/photos/urbanhearts/5444978612, un flou donnant du dynamisme http://www.flickr.com/photos/urbanhearts/4712211769 un sourire http://www.flickr.com/photos/urbanhearts/5424958696 des dialogues improbables http://www.flickr.com/photos/urbanhearts/5553087562 ou http://www.flickr.com/photos/urbanhearts/4506517068...Autre chose qui manque et qui me semble essentiel : j'ai eu la chance d'avoir un premier livre de mes photos édité et publié au Mexique en 2004 (cf www.urbanhearts.com) et c'est après cette publication que j'ai réalisé que mes photos de l'époque étaient centrées sur les œuvres et très peu sur leur contexte...donc prendre l'œuvre c'est bien pour en apprécier les détails, mais il faut aussi, selon moi, prendre le contexte urbain dans lequel se trouve l'œuvre, différents plans, y inclure des passants (voir plus haut). Enfin, conseil général mais trop souvent oublié : l'heure de prise de vue...la lumière, sont essentiels ! Les photos de nuit sont aussi parfois excellentes à condition d'avoir un pied... Dernier point : "le vrai propriétaire des clichés restant toujours le graffeur qui offre ses œuvres au public !!!"...je ne suis pas du tout d'accord avec cette déclaration ! Le seul propriétaire des clichés est le photographe ! C'est lui aussi un artiste qui par son œil interprète l'œuvre sur le mur, la transforme avec le regard d'un passant, un environnement, une lumière...étant moi même acteur en collant les œuvres des artistes mais aussi photographe, je donne toujours mes photos aux artistes mais je ne leur reconnait aucun droit sur mes œuvres ! leurs droits existent aussi bien sûr, on ne peut pas utiliser commercialement leur art et je différencie une photo représentant seulement l'œuvre de celle contextuelle. La première ne fait pas appel à un talent particulier de photographe, la deuxième est bien le résultat d'un travail artistique du photographe. Le graffeur offre ses œuvres au public, oui, mais le photographe peut les sublimer par son regard. Voilà, c'est tout...ça m'a pris plus de 10 min, mais le sujet me passionne, donc on ne compte pas ! »
- Tarek : « Je viens de lire votre guide et je pense qu'il est très juste et pertinent : humour et petits conseils pratiques... Bravo !!! Puis-je le mettre en lecture streaming sur le ScriBD de Paris Tonkar ? » {premier livre français qui retrace quatre années de graffiti2, de 1987 à 1991, à Paris et sa toute proche banlieue3. À la suite du succès de ce livre, l'éditeur Florent Massot décide de lancer 1Tox une revue sur le street art4}
- Thomas, co-fondateur du M.U.R. {depuis 2000, le Mur parisien d'Oberkampf laisse s'exprimer sur son 4*3 des street-Artistes de renom ou émergents} : « Marrant le guide ! Je rajouterai deux/trois choses :
- savoir reculer et zoomer plutôt que toujours prendre en moyenne ou courte focale
- savoir faire deux photos : une du sujet, sans contexte, pour se rassurer d'avoir archiver, et ensuite faire une photo plus large avec plus de contexte et pouvoir choisir, ou pas, après
- ne pas hésiter à composer avec des gens, des passants. Prendre des éléments qui donne l'échelle. Et oser sortir de la frontalité. Essayer de composer entre le sujet (l'œuvre) et la rue (ou un chien, une poubelle, un élément de mobilier) pour équilibrer le cadre en donnant des "contrepoids"
- "oser le pied" (pose plus longue pour flouter les passants) et de manière générale, l'expérimentation. Et toujours tenter, toujours essayer... »
- Emé UHU {gestionnaire du blog ParisTofs et admin de la Communauté Street ART ; photograffeuse du Collectif de street-Artistes UHU, Une Histoire Urbaine} : « Je trouve ça intéressant et juste dans les explications. Ce que j'aime dans le street art c'est la découverte progressive des murs, de la façon dont sont placés les œuvres, de cet apprentissage de balade du regard que tu dois faire par toi-même... et qui te permet à la fin de ne rien manquer (ou presque) du spectacle que t'offre la rue. Ce guide est bien, mais il mâche un peu trop le boulot à mon goût. C'est un peu trop didactique. Beau travail quand même ! »
- Pierre, admin de la page fb dédiée au street-Art de Bordeaux : « Je viens de terminer la lecture de la notice indispensable du bon photograffeur. Avant de démarrer, je me suis imaginé ce que je mettrai dans ce guide et je dois avouer que je suis bluffé. Je le trouve complet, franchement bien ficelé, une syntaxe grammaticale irréprochable, un soupçon d'humour et visuellement documenté. Je noterai cependant une divergence d'opinion sur le fait de photographier ses pieds pour donner une échelle de la taille. J'attends impatiemment que vous le publiez sur votre mur pour à mon tour le partager sur la page de Street Art Bordeaux. Après mûres réflexions post lecture, j'aimerai apporter une dernière précision. Certaines oeuvres sont altérées par le temps, les intempéries et tout simplement des actes de malveillance. Je dois vous avouer que j'aurai tendance à privilégier l'esthétique d'une photo au détriment de l'oeuvre complète »